डाउनलोड "Lhomé - Décembre (la plus belle chanson pour une maman)"

TITRE EXTRAIT DE L ALBUM "L'OMBRE D'UN AMOUR" Paroles Lhomé Musique: Quiet heart Clip Réalisé par Ibrahim Abdelsadok https://lhome.bandcamp.com/ DECEMBRE Maman, j’ t’écris ce soir des mots d’alarmes, j’ai mal à l’âme De moi-même je m’éloigne à mesure que mes pas foulent le macadam C’est dans la haine que j’ai jeté l’ancre de ma peine Et je me noie dans l’océan où jadis baignait une enfance sans problème Maman j’ai cherché ton regard sans cesse Dans les ruelles et les couloirs, à la sortie de l’école et même Dans les voitures qui nous doublaient jusqu’aux fenêtres des HLM Et dans les plis de l’oreiller où se réfugiaient mes larmes. Maman j’perds les commandes avec l’Amour je ne suis plus tendre Et je tends à croire quand les doutes me hantent que Tout est de ma faute que j’ai fait quelque chose Sans autre réponse que dix années à attendre que tu passe ma porte. Maman c’est dur, les états d’âme et les complexes Devant le juge, qui a la garde et qui nous laisse étant donné le contexte Puis c’est l’adolescence, les bougies ne laissent que des cendres Et mon cœur est une saison de 12 mois de décembre J’ECRIS CETTE CHANSON DONT LE REFRAIN PORTE TON NOM DEPUIS LE CORDON COULE DANS MES VEINES LE ROUGE DE TON SANG ET SUR MA PEAU YA L’ENCRE DE TES YEUX J’AI DESSINE DES ANGES AVEC LES OMBRES D’UNE MAMAN J’ECRIS CETTE CHANSON DONT LE REFRAIN PORTE TON NOM DEPUIS LE CORDON COULE DANS MES VEINES LE ROUGE DE TON SANG ET SUR MA PEAU YA L’ENCRE DE TES YEUX J AI BEAU ETRE UN HOMME QUAND J AI MAL JE DIS… Maman j’ai fait du mal à des femmes qui m’aimaient Ne cherchant qu’à séduire et fuyant aux premières leurs de l’idylle Abandonnant par peur d’être encore abandonné, Aimant sans savoir aimer, j’me vengeais inconsciemment maman J’étais sincère mais le cœur comme un aphte Impossible d’embrasser l’amour, infidèle dans mes actes Voulant toutes les avoir pour qu’enfin tu me regardes Moi tout seul, moi sans ailes, moi sans toi, moi qui m’sentais si sale Aujourd’hui j sais ce qui t’a poussé à t’éloigner La solitude et l’injustice face à un mari insensé, je sais Les humiliations à répétition sans motif apparent Et cette détresse... qui fait qu’un jour tu disparaisses Rien ne peut combler ton absence Maman Sauf peut être de ta savoir saine et sauve Mais mon cœur ce soir n’a plus d’encre Je termine ce texte avec les larmes que le vent pousse vert mes tempes.